Vie et ?uvre de Madame pour Sevigne (1626-1696)
Plusieurs circonstances paraissent necessaires Afin de quune correspondance puisse pieusement conservee et publiee il va falloir que lauteur ait occupe une place assez consequente Avec J’ai entreprise pour son temps , ainsi, que les lettres puissent servir du quelque sorte pour completer lhistoire et leurs memoires ; il faudra aussi que lauteur y ait mele quelques sentiments quand vifs et lorsque profonds qua linteret en document historique se joigne ma valeur en document humain.
Tel est precisement la situation des lettres de Mme pour Sevigne, pas vrai destinees a entrer au sein de votre litterature , mais qui, goutees deja quelques contemporains, furent conservees avec une famille , et publiees au XVIIIe siecle.
Sophie pour Rabutin-Chantal naquit a Marseille Ce 5 fevrier 1626. Orpheline d’excellente heure, celle-ci pantalon dabord elevee via le grand-pere et une grand-mere maternels, M. et Mme pour Coulanges. Neanmoins, ceux-ci moururent bientot , et lenfant fut confiee a laine de leurs gamin, labbe pour Coulanges, celui que Mme de Sevigne appelait plus tard Mon “Bien bon”. Labbe fit donner a une niece 1 excellente instruction Menage lui enseigna, avec Grace a Notre latin, lespagnol et litalien. De 1644, Sophie de Rabutin-Chantal epousa Notre marquis Henri de Sevigne, parent du cardinal de Retz. Un marquis ruina sa propre copine , ainsi,, concernant de querelle de jeu, y se battit de 1651 avec Grace a Votre chevalier dAlbret, , lequel Ce tua. De votre mariage original etaient nes 2 bambins Francoise-Marguerite et Charles.
Mme de Sevigne se retira pendant 3 ans a Notre campagne, aux Rochers, pres de Vitre du Bretagne. Cette remit pour lordre Avec sa fortune, grace aux astuces du “beaucoup excellent” ; et du 1654, cette revint pour Marseille, ou elle frequenta lHotel pour Rambouillet et soccupa de leducation de l’ensemble de ses bambins. Et presenta une fille a ma cour , et J’ai maria en 1669 du comte de Grignan, 2 fois veuf , et lieutenant general visuel du Provence. Mme pour Grignan dut, de 1671, rejoindre son mari.
Et nous devons pour votre circonstance et a ce sentiment un brin outre, sa plus grande et la plus vivante part des lettres une marquise. Dailleurs, cette naimait pas minimum le fils, Charles de Sevigne, doue dun c?ur plus ouvert et dun temperament plus expansif que Mme pour Grignan. Charles pantalon brave soldat, prit part pour plusieurs campagnes , et finit par se retirer en Bretagne. Mme de Grignan eut des bambins Marie-Blanche, que Mme pour Sevigne appelle l’ensemble de ses petites entrailles , ainsi, quelle garda chez celle-ci, pour Marseille, pendant 3 ans ; on Notre sacrifia aux interets Plusieurs deux autres bambins, de Notre mettant, des lage de six piges, du couvent une Visitation dAix, dou elle ne sortit Pas ; Marine, dont c’est trop souvent question dans les Lettres , ainsi, qui devint Mme de Simiane ; et Louis-Provence, Notre petit marquis, qui pantalon excellent officier , et pour qui une tante fit epouser, du 1694, Notre fille dun fermier general vous devez bien fumer l’ensemble de ses terres.
Voila Alors concernant distraire une nana, qui s’ennuyait au milieu des fetes et quelques tracasseries d’la entreprise provencale que Mme de Sevigne entreprend pour transposer Marseille et Versailles a Aix . Celle-ci lui ecrit la totalite des semaines pour Notre tenir au frequent pour tout ce qui pouvait l’interesser ; mais surtout cette lui parlait de ses sentiments l’amour maternel, avec Grace a toutes les nuances, tantot exalte, tantot inquiet, tantot desole, tantot joyeux.
Et ces lettres constituent en outre votre temoignage de premier ordre sur les moment de Mme pour Sevigne, Notre agence et votre cour pour Louis XIV.
Mme de Sevigne, , lequel recevait www.datingmentor.org/fr/eris-review souvent pour Marseille une fille et les petits-enfants, allait alors vos ensemble a pour Grignan. Celle-ci se trouvait dans ce chateau, du avril 1696, au moment fut atteinte d’la bonne verole , et mourut.
> Lire Resume et analyse Plusieurs Lettres de Madame de Sevigne
[Source Charles-Marc Des Granges, vos Grands ecrivains francais des origines pour les journees, Librairie Hatier, 1900]